Michel Verna
Photographe professionnel, après des années de photographies institutionnelles et industrielles, j’ai décidé de laisser parler ma sensibilité artistique en présentant régulièrement mon travail. J’ai cherché ma voie, touché à divers procédés (variations photographiques, travail sur le Noir et Blanc, aux techniques numériques, du portrait au paysage...). Pendant quelques années j’ai superposé deux visions de notre environnement : la première autour des lignes, ces lignes qui mettent en scène notre paysage au quotidien, la deuxième autour de la face cachée de la nature, révéler l’invisible.
Le Noir et Blanc, un temps écarté, est redevenu très présent dans mon travail. Il traduit pleinement l’émotion des hommes au travail, portraits de labeur et de fête, les tirages Fine Art, Noir et Blanc ou sépia, illuminent les sensations invisibles dans l’expression du visage, dans la lumière du regard. Tout cet art photographique qui consiste sans artifices de logiciel, à être le peintre de l’instantané.
EXPOSITIONS
2018
La Gringe des Arts, La Celle-Dunoise.
RDV au jardin, Auvers-sur-Oise
Galerie 3F, Paris
Espace Certalys, Paris13
Centre culturel G.Philippe, Wasquehal
2017
La Galerie 3F, Paris
L’ Hermitage Gantois, Lille.
Librairie Galerie Books top, Brantôme
La Non Galerie, Brest
Place suisse des arts, Lausanne.
2016
3ème Biennale d'art Contemporain en Beauce : Gardiens des Près.
Les Off de l'art et du design végétal, Galerie du Via : Femme Imaginée.
Ville de Salins-les -Bains, dans la mairie et extérieur : Le monde de l'invisible.
2015
Galerie la Ralentie , Paris (75011) : Participation concours, retenu et accroché.
Festival Coeur deFrance, Ainay le Vieil (45) : Les gardiens des Près.
Galerie l'Oeil et la main, Fresselines (23) : Racines.
2014
Agence Thomas Cook, Neuilly-sur-Seine (92) : Venise.
Espace Estampille, Bruxelles (Belgique) : Gardiens des Près.
Office de tourisme, Saint-Laurent-sur-Gorre (87) : Racines.
Jardin du musée de la maison atelier de Daubigny, Auvers-sur-Oise (95) : Gardiens des Près.
Rendez-vous au jardin, Gerberoy (60) : Gardiens des Près.
18iemes rencontre d’art contemporain, Château de Saint-Auvent (87) : Gardiens des Près.
2013
Espace jardin Taffin, Montmorency (95) : Gardiens des Prés.
Rendez-vous au jardin, Auvers-sur-Oise (95) : Des lignes, un regard, une émotion.
Galerie Monod, Paris (75015) : Racines.
2012
Château de Rambures (80) : Regard nature, Bâches accrochées dans les arbres.
Evaux-les-Bains (23) : Des lignes, un regard, une émotion.
2011
Restaurant Sous le Porche, Auvers-sur-Oise (95) : Chorégraphie Éphémère.
Médiathèque, Lubersac (87) : Chorégraphie Éphémère.
Les Irisiades, Château d’Auvers-sur-Oise (95) : Regard nature, Bâches accrochées dans les arbres.
Office de tourisme, Saint-Laurent-sur-Gorre (87) : Gardiens des Prés.
Office de tourisme, Châlus (87) : Chorégraphie Éphémère.
2010
Office de tourisme, Saint –Laurent-sur Gorre (87) : Des lignes, un regard, une émotion.
2009
Gorre (87) : Chorégraphie Éphémère.
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Voyage en pigments
Creation d'image
Au travers du torchis, des pigments, voyage fantasmagorique -
Femme rêvée à la feuille
L’énigme du verre
Par Aurore Jesset, psychanalyste, interprète d’art…pour Michel Verna.Automne ou printemps, les ténèbres ou la lumière, la nudité immobile interroge la frontière des choses.
Le ciel bleu se reflète dans les parois de verre et la nature végétale des arbres taquinent les feuilles mortes tombées comme une énigme sur le toit vitré.
Le regard oscille, le cœur vacille. Eros et Thanatos se côtoient avec une grâce délicate. La perfection de son corps allongé flirte avec le divin. Cependant, la tyrannie de l’enfer n’est pas loin.
La transparence du verre et la hauteur d’un recul certain guident le regard, et pourtant, l’ambiguïté insolente s’amuse du bien et du mal dans une ironie aux courbes voluptueuses.
Une douce insouciance plane, tel un voile de soie posé sur une contrée à oser.
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Femme rêvée désir
L’énigme du verre
Par Aurore Jesset, psychanalyste, interprète d’art…pour Michel Verna.Automne ou printemps, les ténèbres ou la lumière, la nudité immobile interroge la frontière des choses.
Le ciel bleu se reflète dans les parois de verre et la nature végétale des arbres taquinent les feuilles mortes tombées comme une énigme sur le toit vitré.
Le regard oscille, le cœur vacille. Eros et Thanatos se côtoient avec une grâce délicate. La perfection de son corps allongé flirte avec le divin. Cependant, la tyrannie de l’enfer n’est pas loin.
La transparence du verre et la hauteur d’un recul certain guident le regard, et pourtant, l’ambiguïté insolente s’amuse du bien et du mal dans une ironie aux courbes voluptueuses.
Une douce insouciance plane, tel un voile de soie posé sur une contrée à oser.
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Femme rêvée pastel
L’énigme du verre
Par Aurore Jesset, psychanalyste, interprète d’art…pour Michel Verna.Automne ou printemps, les ténèbres ou la lumière, la nudité immobile interroge la frontière des choses.
Le ciel bleu se reflète dans les parois de verre et la nature végétale des arbres taquinent les feuilles mortes tombées comme une énigme sur le toit vitré.
Le regard oscille, le cœur vacille. Eros et Thanatos se côtoient avec une grâce délicate. La perfection de son corps allongé flirte avec le divin. Cependant, la tyrannie de l’enfer n’est pas loin.
La transparence du verre et la hauteur d’un recul certain guident le regard, et pourtant, l’ambiguïté insolente s’amuse du bien et du mal dans une ironie aux courbes voluptueuses.
Une douce insouciance plane, tel un voile de soie posé sur une contrée à oser.
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Femme rêvée
L’énigme du verre
Par Aurore Jesset, psychanalyste, interprète d’art…pour Michel Verna.Automne ou printemps, les ténèbres ou la lumière, la nudité immobile interroge la frontière des choses.
Le ciel bleu se reflète dans les parois de verre et la nature végétale des arbres taquinent les feuilles mortes tombées comme une énigme sur le toit vitré.
Le regard oscille, le cœur vacille. Eros et Thanatos se côtoient avec une grâce délicate. La perfection de son corps allongé flirte avec le divin. Cependant, la tyrannie de l’enfer n’est pas loin.
La transparence du verre et la hauteur d’un recul certain guident le regard, et pourtant, l’ambiguïté insolente s’amuse du bien et du mal dans une ironie aux courbes voluptueuses.
Une douce insouciance plane, tel un voile de soie posé sur une contrée à oser.