Marina Tziara
Chaque œuvre de Marina Tziara puise dans sa propre vie et dans celles de femmes résilientes, tissant ces histoires en des expressions universelles de survie et d’espoir. Profondément inspirée par la littérature et la poésie, son travail mêle surréalisme, portraits sauvages, occultisme et symbolisme, invitant le spectateur à ressentir le pouls de l’existence. En parallèle de sa pratique picturale, elle écrit des récits surréalistes ancrés dans son enfance, avec l’ambition d’apporter lumière et inspiration. Ces récits constituent la base de son premier livre, où ses univers visuel et narratif convergent dans un voyage de transformation. À travers son art, elle honore l’extraordinaire dans l’ordinaire, utilisant des récits puissants pour établir un lien intemporel avec les spectateurs. Chaque œuvre devient ainsi un pont entre l’art et l’esprit, invitant à ressentir l’intensité, la sensualité brute et la réflexion sensible qui animent son expression créative.
Née à Athènes, Marina Tziara est une artiste féministe dédiée à l’exploration de la résilience, de la transformation et des voix des femmes à travers son travail. À 21 ans, elle s’installe en Espagne, où elle vit et travaille pendant une décennie avant de s’établir en France il y a cinq ans. Diplômée d’un BA de l’École des Beaux-Arts de Séville, d’un MFA de l’Université de Séville et d’un MEd en pédagogie Montessori et psychologie de l’adolescence de l’Université de Cuyo, elle expose son travail à l’international depuis 15 ans tout en participant activement aux aspects théoriques de l’art, notamment à travers l’animation d’ateliers et de séminaires explorant l’art comme métalangage de la sublimation.
En 2024, elle est finaliste parmi les trois dernières candidates pour Re-Wiring: Unmasking Gendered Power Hierarchies, un projet européen traitant des inégalités de genre institutionnelles par une recherche transformative. La même année, elle reçoit une bourse entièrement financée pour le Centre Pompadour, résidence créative féministe européenne. Durant cette résidence, elle approfondit ses recherches pour Girls on the Run, un projet inspiré par Henry Darger, le poème Girls on the Run de John Ashbery, ainsi que par ses propres expériences vécues. Ce projet fusionne peinture, écriture et sculptures portables pour explorer les histoires de femmes qui construisent de nouvelles identités et sanctuaires.
Marina Tziara s’efforce de fusionner activisme et expression artistique, créant des espaces où les récits féministes prennent vie. Son art établit un pont entre les thèmes féministes et le surréalisme du quotidien. Elle enseigne également l’histoire du féminisme dans l’art et la littérature et est mentor pour Women on Top. Actuellement, elle prépare une collection de récits surréalistes courts et un livre d’artiste, ainsi que de nouvelles peintures inspirées de ses recherches au Centre Pompadour. Pour elle, l’art est un sanctuaire où le personnel devient universel, et où la transformation est constante.
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Carcasse - Un medley d'âmes perdues et d'indications précises
147x120cm technique mixte sur toile 2025
Cette peinture fait partie de Girls on the Run, un projet multidisciplinaire en cours qui explore l'exil, la résilience féminine et la création de mythologies personnelles. Enraciné dans la peinture, l'écriture, la sculpture et la performance, il raconte l'histoire de femmes qui s'échappent, disparaissent et se reconstruisent dans l'espace liminaire entre la mémoire et la survie.
Inspiré par le poème Girls on the Run de John Ashbery et la construction obsessionnelle du monde d'Henry Darger, le projet dépeint des femmes qui se forgent des sanctuaires imaginaires - des domaines éphémères mais vitaux où elles revendiquent une identité et un pouvoir au-delà des récits imposés. Les œuvres émergent par couches successives : de vieilles peintures sont poncées, réaffectées en palimpsestes de passés effacés et d'avenirs réimaginés, un processus qui reflète le déplacement et la renaissance. -
Une carcasse d'amour et de bleus
30x30cm technique mixte sur toile 2025
Cette peinture fait partie de Girls on the Run, un projet multidisciplinaire en cours qui explore l'exil, la résilience féminine et la création de mythologies personnelles. Enraciné dans la peinture, l'écriture, la sculpture et la performance, il raconte l'histoire de femmes qui s'échappent, disparaissent et se reconstruisent dans l'espace liminaire entre la mémoire et la survie.
Inspiré par le poème Girls on the Run de John Ashbery et la construction obsessionnelle du monde d'Henry Darger, le projet dépeint des femmes qui se forgent des sanctuaires imaginaires - des domaines éphémères mais vitaux où elles revendiquent une identité et un pouvoir au-delà des récits imposés. Les œuvres émergent par couches successives : de vieilles peintures sont poncées, réaffectées en palimpsestes de passés effacés et d'avenirs réimaginés, un processus qui reflète le déplacement et la renaissance. -
Dans mon cœur, tu fais toujours des lunes pleines
40x40cm technique mixte sur toile 2025
Cette peinture fait partie de Girls on the Run, un projet multidisciplinaire en cours qui explore l'exil, la résilience féminine et la création de mythologies personnelles. Enraciné dans la peinture, l'écriture, la sculpture et la performance, il raconte l'histoire de femmes qui s'échappent, disparaissent et se reconstruisent dans l'espace liminaire entre la mémoire et la survie.
Inspiré par le poème Girls on the Run de John Ashbery et la construction obsessionnelle du monde d'Henry Darger, le projet dépeint des femmes qui se forgent des sanctuaires imaginaires - des domaines éphémères mais vitaux où elles revendiquent une identité et un pouvoir au-delà des récits imposés. Les œuvres émergent par couches successives : de vieilles peintures sont poncées, réaffectées en palimpsestes de passés effacés et d'avenirs réimaginés, un processus qui reflète le déplacement et la renaissance. -
Quand je serai couché sur la terre
90x49 technique mixte sur toile, 2025
Cette peinture fait partie de Girls on the Run, un projet multidisciplinaire en cours qui explore l'exil, la résilience féminine et la création de mythologies personnelles. Enraciné dans la peinture, l'écriture, la sculpture et la performance, il raconte l'histoire de femmes qui s'échappent, disparaissent et se reconstruisent dans l'espace liminaire entre la mémoire et la survie.
Inspiré par le poème Girls on the Run de John Ashbery et la construction obsessionnelle du monde d'Henry Darger, le projet dépeint des femmes qui se forgent des sanctuaires imaginaires - des domaines éphémères mais vitaux où elles revendiquent une identité et un pouvoir au-delà des récits imposés. Les œuvres émergent par couches successives : de vieilles peintures sont poncées, réaffectées en palimpsestes de passés effacés et d'avenirs réimaginés, un processus qui reflète le déplacement et la renaissance. -
Une voyage
100x81cm technique mixte sur toile 2023
Cette peinture fait partie de Madonnas, une série de peintures sur les multiples visages de la maternité contemporaine. Donner naissance à un enfant, une idée, une œuvre, un mouvement : être mère, c’est continuer à inspirer et à vivre. Ce projet s’affranchit du regard masculin pour célébrer un amour inconditionnel à réinventer. Mes peintures dialoguent avec la poésie de Sylvia Plath, Alejandra Pizarnik, Louise Glück, Holly McNish et la Marelle de Julio Cortázar. Parmi mes Madonnas, il y a celles qui m’ont inspirée, celles que j’aspire à inspirer, et toutes les mères et filles qui luttent pour être vues et entendues. Je les peins avec le cœur, pour leur donner des ailes.
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Entière
70x70cm technique mixte sur toile 2023
Cette peinture fait partie de Madonnas, une série de peintures sur les multiples visages de la maternité contemporaine. Donner naissance à un enfant, une idée, une œuvre, un mouvement : être mère, c’est continuer à inspirer et à vivre. Ce projet s’affranchit du regard masculin pour célébrer un amour inconditionnel à réinventer. Mes peintures dialoguent avec la poésie de Sylvia Plath, Alejandra Pizarnik, Louise Glück, Holly McNish et la Marelle de Julio Cortázar. Parmi mes Madonnas, il y a celles qui m’ont inspirée, celles que j’aspire à inspirer, et toutes les mères et filles qui luttent pour être vues et entendues. Je les peins avec le cœur, pour leur donner des ailes.