Camille Mazier
Camille Mazier est une artiste française représentée depuis 2020 par la galerie L A Noble Gallery London. Née à Soissons, elle est diplômée des écoles : Gobelins, Renoir et Brassaï. Elle vit et travaille à Paris où elle s'est installée en 2008 pour ses études en photographie.
Son travail témoigne de sa sensibilité et de son intérêt pour la nature et l’Homme. Il se situe à l’intersection du documentaire d’auteur et du «paysage mental». Dans ses dernières séries, elle puise dans les émotions de son histoire personnelle pour nous emporter dans des contes humains et universels qui nous confrontent à notre propre vécu et à nos propres émotions.
En 2017, sa série «Il n'y avait pas d'autre issue que le silence» est sélectionnée pour être exposée aux Rencontres Photographiques du Xe à Paris et au Festival ArtArctica à Helsinki (Finlande).
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Veins and bloodline
Extrait de la série « Il n’y avait pas d’autre issue que le silence »
La série “Il n’y avait pas d’autre issue que le silence” est née de deux séjours hivernaux au-delà du cercle polaire arctique, sur la côte norvégienne, en 2015 et en 2016. J’ai trouvé mon exutoire dans cet environnement glacial, blanc, silencieux, et une mer déchaînée qui dévoilent une lutte des éléments, un univers brutal et sanguinolent. L'hiver comme la fin d’un cycle, qui en commande un autre.
Il n'y avait pas d'autre issue que le silence
alors je suis allée le chercher
aussi loin qu'il le fallait
et encore au delà
pour échapper au monde réel
l'espace d'un instant. -
Escape
Extrait de la série « Il n’y avait pas d’autre issue que le silence »
La série “Il n’y avait pas d’autre issue que le silence” est née de deux séjours hivernaux au-delà du cercle polaire arctique, sur la côte norvégienne, en 2015 et en 2016. J’ai trouvé mon exutoire dans cet environnement glacial, blanc, silencieux, et une mer déchaînée qui dévoilent une lutte des éléments, un univers brutal et sanguinolent. L'hiver comme la fin d’un cycle, qui en commande un autre.
Il n'y avait pas d'autre issue que le silence
alors je suis allée le chercher
aussi loin qu'il le fallait
et encore au delà
pour échapper au monde réel
l'espace d'un instant. -
Snow falls
Extrait de la série « Il n’y avait pas d’autre issue que le silence »
La série “Il n’y avait pas d’autre issue que le silence” est née de deux séjours hivernaux au-delà du cercle polaire arctique, sur la côte norvégienne, en 2015 et en 2016. J’ai trouvé mon exutoire dans cet environnement glacial, blanc, silencieux, et une mer déchaînée qui dévoilent une lutte des éléments, un univers brutal et sanguinolent. L'hiver comme la fin d’un cycle, qui en commande un autre.
Il n'y avait pas d'autre issue que le silence
alors je suis allée le chercher
aussi loin qu'il le fallait
et encore au delà
pour échapper au monde réel
l'espace d'un instant. -
Nous ne nous reverrons plus sur Terre
Extrait de la série "Je serai solide comme un Moaï"
Suite à la perte de mon père, j’ai ressenti le besoin de partir sur ses traces pour dépasser son absence. Je suis allée dans le Pacifique Sud au Vanuatu où il était enseignant au début de sa carrière il y a 40 ans, et sur l’Île de Pâques où il avait voyagé également. Grâce à ses récits et à ses photos, j’ai découvert les endroits qu’il avait fréquentés et j’ai retrouvé ses anciens élèves qui m’ont parlé de lui. En marchant sur ses pas, j’ai écrit la suite de son voyage et tracé ma propre route. Par la répétition des rencontres et des découvertes, ce voyage géographique et intérieur, ce parcours transgénérationnel, devient une histoire universelle.
J’intègre des photos prises par mon père qui sont en bon état de conservation. Il est parfois difficile d’identifier s’il s’agit d’une archive ou d’une de mes photos récentes. Ces images deviennent donc intemporelles, perpétuelles, éternelles. -
Gathering
Extrait de la série "Je serai solide comme un Moaï"
Suite à la perte de mon père, j’ai ressenti le besoin de partir sur ses traces pour dépasser son absence. Je suis allée dans le Pacifique Sud au Vanuatu où il était enseignant au début de sa carrière il y a 40 ans, et sur l’Île de Pâques où il avait voyagé également. Grâce à ses récits et à ses photos, j’ai découvert les endroits qu’il avait fréquentés et j’ai retrouvé ses anciens élèves qui m’ont parlé de lui. En marchant sur ses pas, j’ai écrit la suite de son voyage et tracé ma propre route. Par la répétition des rencontres et des découvertes, ce voyage géographique et intérieur, ce parcours transgénérationnel, devient une histoire universelle.
J’intègre des photos prises par mon père qui sont en bon état de conservation. Il est parfois difficile d’identifier s’il s’agit d’une archive ou d’une de mes photos récentes. Ces images deviennent donc intemporelles, perpétuelles, éternelles. -
31 o
Extrait de la série "Je serai solide comme un Moaï"
Suite à la perte de mon père, j’ai ressenti le besoin de partir sur ses traces pour dépasser son absence. Je suis allée dans le Pacifique Sud au Vanuatu où il était enseignant au début de sa carrière il y a 40 ans, et sur l’Île de Pâques où il avait voyagé également. Grâce à ses récits et à ses photos, j’ai découvert les endroits qu’il avait fréquentés et j’ai retrouvé ses anciens élèves qui m’ont parlé de lui. En marchant sur ses pas, j’ai écrit la suite de son voyage et tracé ma propre route. Par la répétition des rencontres et des découvertes, ce voyage géographique et intérieur, ce parcours transgénérationnel, devient une histoire universelle.
J’intègre des photos prises par mon père qui sont en bon état de conservation. Il est parfois difficile d’identifier s’il s’agit d’une archive ou d’une de mes photos récentes. Ces images deviennent donc intemporelles, perpétuelles, éternelles.