Louise Siffert

Edition de Multiple pour Le Centre des Organisations Positives.
Technique: Impression UV, Tableau blanc.

Le centre des Organisations positives

Comment redonner de la motivation au travail / dans la vie ? Comment encourager, se remettre en forme ? Comment réussir / s’accomplir / s’épanouir ?
Ces questions, à la fois naïves et ironiques sur le monde du travail, recèlent des problématiques qui touchent également au statut de l’artiste.

Cette entreprise fictive de coaching mime avec malice l’univers
de la bureautique, qui, sous son allure pacifique et cosy, est aussi vecteur d’angoisse et de violence. Cette esthétique tertiaire adresse une discrète critique aux économies dématérialisées
du savoir, qui envahissent aujourd’hui le monde de l’entreprise, mais aussi celui de l’art – les deux domaines partageant de plus
en plus les mêmes idéologies, pour ne pas dire les mêmes formes. Appendices du capitalisme tardif, ces discours psychologisants et
moralement troubles, entre New Age et course au profit, sont replacés par Louise Siffert au coeur de leur vanité théâtrale, entre tragédie pathétique et comédie, en montrant comment l’exacerbation d’une positivité impérieuse tente de contrebalancer l’accroissement de la violence à l’oeuvre dans le monde économique.

Détails du bureau du Centre des Organisations Positives.

Vidéo de 2 minutes " Et si vous étiez à deux minutes du succès ? "
https://vimeo.com/216719729

Comment redonner de la motivation au travail / dans la vie ? Comment encourager, se remettre en forme ? Comment réussir / s’accomplir / s’épanouir ?
Ces questions, à la fois naïves et ironiques sur le monde du travail, recèlent des problématiques qui touchent également au statut de l’artiste.

Cette entreprise fictive de coaching mime avec malice l’univers
de la bureautique, qui, sous son allure pacifique et cosy, est aussi vecteur d’angoisse et de violence. Cette esthétique tertiaire adresse une discrète critique aux économies dématérialisées
du savoir, qui envahissent aujourd’hui le monde de l’entreprise, mais aussi celui de l’art – les deux domaines partageant de plus
en plus les mêmes idéologies, pour ne pas dire les mêmes formes. Appendices du capitalisme tardif, ces discours psychologisants et
moralement troubles, entre New Age et course au profit, sont replacés par Louise Siffert au coeur de leur vanité théâtrale, entre tragédie pathétique et comédie, en montrant comment l’exacerbation d’une positivité impérieuse tente de contrebalancer l’accroissement de la violence à l’oeuvre dans le monde économique.

Edition de Multiple pour Le Centre des Organisations Positives.
Technique: Impression UV, Tapis de yoga.

Comment redonner de la motivation au travail / dans la vie ? Comment encourager, se remettre en forme ? Comment réussir / s’accomplir / s’épanouir ?
Ces questions, à la fois naïves et ironiques sur le monde du travail, recèlent des problématiques qui touchent également au statut de l’artiste.

Cette entreprise fictive de coaching mime avec malice l’univers
de la bureautique, qui, sous son allure pacifique et cosy, est aussi vecteur d’angoisse et de violence. Cette esthétique tertiaire adresse une discrète critique aux économies dématérialisées
du savoir, qui envahissent aujourd’hui le monde de l’entreprise, mais aussi celui de l’art – les deux domaines partageant de plus
en plus les mêmes idéologies, pour ne pas dire les mêmes formes. Appendices du capitalisme tardif, ces discours psychologisants et
moralement troubles, entre New Age et course au profit, sont replacés par Louise Siffert au coeur de leur vanité théâtrale, entre tragédie pathétique et comédie, en montrant comment l’exacerbation d’une positivité impérieuse tente de contrebalancer l’accroissement de la violence à l’oeuvre dans le monde économique.

Détails Installation

Technique: Découpe laser, Toast et plexiglass

Comment redonner de la motivation au travail / dans la vie ? Comment encourager, se remettre en forme ? Comment réussir / s’accomplir / s’épanouir ?
Ces questions, à la fois naïves et ironiques sur le monde du travail, recèlent des problématiques qui touchent également au statut de l’artiste.

Cette entreprise fictive de coaching mime avec malice l’univers
de la bureautique, qui, sous son allure pacifique et cosy, est aussi vecteur d’angoisse et de violence. Cette esthétique tertiaire adresse une discrète critique aux économies dématérialisées
du savoir, qui envahissent aujourd’hui le monde de l’entreprise, mais aussi celui de l’art – les deux domaines partageant de plus
en plus les mêmes idéologies, pour ne pas dire les mêmes formes. Appendices du capitalisme tardif, ces discours psychologisants et
moralement troubles, entre New Age et course au profit, sont replacés par Louise Siffert au coeur de leur vanité théâtrale, entre tragédie pathétique et comédie, en montrant comment l’exacerbation d’une positivité impérieuse tente de contrebalancer l’accroissement de la violence à l’oeuvre dans le monde économique.

Technique mixte

Comment redonner de la motivation au travail / dans la vie ? Comment encourager, se remettre en forme ? Comment réussir / s’accomplir / s’épanouir ?
Ces questions, à la fois naïves et ironiques sur le monde du travail, recèlent des problématiques qui touchent également au statut de l’artiste.

Cette entreprise fictive de coaching mime avec malice l’univers
de la bureautique, qui, sous son allure pacifique et cosy, est aussi vecteur d’angoisse et de violence. Cette esthétique tertiaire adresse une discrète critique aux économies dématérialisées
du savoir, qui envahissent aujourd’hui le monde de l’entreprise, mais aussi celui de l’art – les deux domaines partageant de plus
en plus les mêmes idéologies, pour ne pas dire les mêmes formes. Appendices du capitalisme tardif, ces discours psychologisants et
moralement troubles, entre New Age et course au profit, sont replacés par Louise Siffert au coeur de leur vanité théâtrale, entre tragédie pathétique et comédie, en montrant comment l’exacerbation d’une positivité impérieuse tente de contrebalancer l’accroissement de la violence à l’oeuvre dans le monde économique.